Immersion en Bretagne occupée

18 / 06 / 2024

Organisée par Mémoire Bretagne 1944
Un beau jour de juin 1944, une unité de combat allemande se présente au village. Charpentier de métier, Anthony Aymard observe leur installation près de la ferme.
Plusieurs camions transportant du carburant se stationnent non loin et sous bonne garde.
Cela en est de trop pour le charpentier qui décide de prendre le maquis. Ces premiers actes de résistance seront de commettre un graffiti sur le poste infanterie allemand et modifier l’avis à la population. Malheureusement, les allemands veillent et Anthony sera surpris lors de son graffiti. Indulgents, les occupants lui ordonnent seulement de nettoyer.
Anthony part donc seul au maquis…..
Quelques temps plus tard, Mr Le Maire en liaison avec Londres, fait parvenir un message et annonce l’arrivée de parachutistes SAS.
Le charpentier s’empresse de se rendre sur la DZ et accueillir ces combattants.
Anthony : « – Pierre
Stick SAS : – Marcel
Anthony : Bonjour Messieurs, bienvenue en France, suivez moi »
De retour au maquis, Maëlig Burel-Bordais agent communale, nous a rejoint et souhaite également combattre l’occupant.
Le Maquis de Coet Zent prend forme et devient armé.
Sans ordre et de leurs propres initiatives, Anthony dit Tournesol et 2 SAS Thomas et Zack décident de partirent en reconnaissance afin d’observer le camp allemand et le dépôt de carburant.
Lors de leur progression, Zack sauva le groupe en neutralisant un piège.
Pas de sentinelle… Tournesol prend le risque d’arracher et de voler le panneau de poste de commandement et d’infirmerie allemand.
Fière de sa prise de guerre, il ne pensa pas aux représailles.
Réveillez, par la fuite à toute jambes du Le maquisard vers la mairie, l’unité de combattant allemande décident de réveiller tout le village et de vérifier toutes les cartes d’identité.
01h30….Hommes, femmes et enfants sont alignés dehors.
𝙇𝙚 𝙡𝙚𝙣𝙙𝙚𝙢𝙖𝙞𝙣 𝙢𝙖𝙩𝙞𝙣….
Au réveil, le groupe de 5 hommes fortifient le maquis, affiche leur prise de guerre et se prennent en photo.
C’est alors qu’un gendarme du village, envoyé par Mr Le Maire, se présente au maquis. Porteur d’un message, il nous annonce que notre petite escapade dans la nuit n’a pas été bien vu par Londres.
Nous l’informons que par cette opération, nous connaissons le lieu précis du campement, les accès et le stock de carburant.
Après son départ, les SAS nous forment aux maniements des armes. Sten, Bren, explosifs… pour le petit charpentier que je suis, c’est une remise en question, je n’ai tenu d’arme, je n’ai jamais tué…. Maelig dit MAX me rassure : « Tout se passera bien mon ami »
Prêt à aller affronter l’occupant mais avant tout, il nous fallait nous alimenter. Le maquisard s’affère à la cuisine, tandis que les SAS aident aux différentes taches.
Malheureusement au village, tout n’est pas aussi calme… Le postier a été fait prisonnier et sera exécuté dans la soirée.
Le Maquis réagit de suite et la décision est prise d’aller le libérer.
Infiltration, observation, soutien avec le Bren , les SAS et Maquisards rentrent au village, une escarmouche aura lieu, plusieurs allemands seront tués par les SAS, tandis que tournesol s’infiltre dans le dépôt de carburant, tue la sentinelle, vole sa Zeltbahn et place la charge explosive sous un tonneau.
Malheureusement, dans l’affrontement, le postier sera abattu par le garde à proximité.
Max est dans tout est état…. Sa bourgeoise surpris en train de fraternisé avec l’ennemie..
De retour au maquis, il est très difficile de retenir Max…
Néanmoins, cette première bataille gagnée remplit de fierté les hommes.
Sous ordre des SAS, chacun tient son poste d’observation et de combat. Cette attaque au village ne restera pas impunie, les SAS en sont persuadés. « 𝗜𝗟 𝗙𝗔𝗨𝗧 𝗧𝗘𝗡𝗜𝗥 𝗟𝗘 𝗠𝗔𝗤𝗨𝗜𝗦 » !
Le calme sera de courte durée… L’unité de combat allemande est observée dans la vallée. L’attaque du maquis est imminente.
Nous entendons au loin les ordres allemands… Un mot revient très souvent : « TERRORISTES »
De toute part, les allemands avancent, le maquis est encerclé ; mais par l’expérience militaire et le dévouement des SAS, l’occupant est maintenue à distance, certains soldats allemands tués et le reste repoussé. Les Maquisards sont saufs et le maquis de Coet Zent continuera à résister ! Une photo de ce groupe d’hommes sera faite.
Dans cette attaque, Max a été blessé légèrement par…. un gendarme du village.. Pour Max, cela doit être punie.
Lors du repas du soir, la décision est prise d’attaquer la gendarmerie et de capturer le dit gendarme…
Les SAS valident l’opération et nous voici habillés, grimés et armés. La nuit tombée, nous prenons la direction du village.
22h10… Couvre feu… c’est dans la nuit noire, que ce groupe de 7 hommes avancent, se positionnent et observent..
La porte de la gendarmerie est poussée violemment et la capture du gendarme est opérée. Nous ressortons immédiatement et vient le moment de l’interrogatoire… Honneur à Max… Vient ensuite aux SAS qui sont extrêmement précis dans leurs questions. Néanmoins, il faut retenir Tournesol qui ne pense qu’à venger son ami Max.
Le gendarme sera laissé pour libre.
Il est décidé de ne pas dormir au maquis mais sur une position défensive non connue des villageois.
2 hommes manquent à l’appel… Anthony et Maëlig..
Ils seront considérés comme terroristes et 2 avis à la population seront établis contre ces hommes.
𝘿𝙞𝙢𝙖𝙣𝙘𝙝𝙚 𝙢𝙖𝙩𝙞𝙣 à l’aube…
4 SAS et 1 maquisard se réveillent et rentrent au maquis.
Ce qu’ils ne savaient pas…
Le maquis est encerclé… un régiment allemand au complet entour le bois de Coet Zent.
L’occupant capture 4 SAS et 1 maquisard… MAX… qui malheureusement face à la situation se jeta sur un des allemands et sera tué… les 4 SAS seront fait prisonnier et emmené au village.
Mais dans leur manœuvre d’attaque, les allemands ont positionné du matériel que le dernier SAS resté à la position de replis, avait observé. Il récupérera 2 grenades et un manteau allemand. Le maquisard qui avait pris la fuite retrouve également Zack avec son Bren et le matériel allemand.
Nous devons libérés le village de l’oppresseur.
Nous prenons contact avec Mr Le Maire et lui demandons son aide et celle des villageois pour attaquer le camp allemands et libérer les SAS.
Dans un premier temps, la sentinelle allemand devant le baraquement des prisonniers sera tuée. Les SAS rejoignent le groupe et ensemble nous entourons le camp allemand. La progression est discrète, la stratégie et parfaite.
En bas du village, un premier tire.. et tout le monde accours pour apporter le surnombre et chasser l’occupant. Aucun allemand ne survivra à cette attaque, les collaborateurs seront arrêtés et remis aux gendarmes servant De Gaulle.
Cet ainsi, que le Maquis de Coet Zent et son village sera libérés.
𝗤𝗨𝗜 𝗢𝗦𝗘 𝗚𝗔𝗚𝗡𝗘 !
𝗩𝗶𝘃𝗲 𝗹𝗮 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 ! 𝗩𝗶𝘃𝗲 𝗟𝗲 𝗚𝗲́𝗻𝗲́𝗿𝗮𝗹 𝗗𝗲 𝗚𝗮𝘂𝗹𝗹𝗲 !
Album complet :

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *